"Accepte ta grandeur en silence".

Dimanche 11 octobre 2015

S. Bonjour Gannesh’, mon grand ami, tu as le bonjour de mon tendre amour. Il t’aime beaucoup et se connecte souvent à toi.


G. Bonjour à vous deux. Vous formez un joli couple attendrissant, car je vois les efforts que vous faites à vouloir grandir ensemble, malgré les vicissitudes de l’existence terrestre.


S. Gannesh’ pourquoi mes sens ne sont pas encore développés comme je le souhaiterais? M’approcher des autres dimensions me plairait vraiment.


G. Ma chère, je vais te répondre ceci. L’ouverture de conscience, c'est-à-dire l’ouverture des limitations à ta conscience dépend de ta capacité à lâcher les limitations que tu t’es imposée, même si tu ne t’en rends pas compte. Je vais te montrer que tu veux quelque chose mais qu’au fond de toi tu le crois impossible.


S. Je le vois, tu as raison.


G. La deuxième chose est que ce n’est pas parce que tu as la vision extrasensorielle que tu sauras cultiver l’amour le plus pur.


Ta voie, ton choix qui consiste à travailler sur l’amour pur, et donc sur l’amour distingué des émotions, de l’attachement, est une voie d’éveil, car elle permet au flux de la vie d’être le plus fluide, le plus créatif. Simplement de part ton état intérieur, tu crées un courant d’ondes de vie harmonieux.


S. Gannesh’, je te sens un peu plus distant, éloigné. Que se passe t-il ?


G. Va chercher en toi.


S. Je me rends compte que je suis d’avantage dans le vouloir que dans l’accueil. Pourquoi faut-il que je fasse tout le temps le yoyo ?


G. Accepte ma chère. Viens, je vais me rapprocher de toi.


Des transformations profondes sont en cours, dans ton temps linéaire cela prend du temps, mais elles sont déjà là. Dans le temps linéaire, elles se font en douceur, si bien que tu as du mal à les percevoir et que tu t’impatientes un petit peu. 
Par contre tu réalises que tu as déjà fait le choix sur ce qui te convient et ce qui ne te convient plus du tout.
Tu ressens les vibrations comme jamais n’est-ce pas ? Reste donc attentive aux vibrations, quitte l’analyse par le mental et reste en connexion aux fréquences.


Hier, tu as fait un bon exercice en conscience avec les joueurs de rock (un orchestre de rock jouait sur la place du village). C’est tout ce que tu exècres comme musique, pourtant en te branchant sur ton centre, tu as pu être à côté d’eux et admirer leur travail, leur rigueur musicale, leur engagement, leur don d’eux-mêmes, même ! Tu as pu t’observer lorsque tu n’es plus en réaction.


Accepte, accepte-toi, aime-toi le plus possible, car je sais que tu t’oublies souvent. Reviens à toi, à ta grandeur intérieure, accepte ta grandeur en silence, ouvre-lui toute grande les portes de ton espace silencieux et tu verras.


S. Merci cher Gannesh’, je t’aime.